Elles courent, elles courent,
et elles gagnent, les demoiselles de Mahéru !
Attention : on parle cheval.
Entre 1861 et 1914, nous avons identifié au moins 7 juments qui ont couru fort honorablement et ont porté le nom de Mademoiselle de Mahéru.
Historiquement la première dont nous ayons les traces est celle de la Marquise de Falandre qui était déjà enregistrée comme poulinière en 1865. Une autre la suivait de près, née en 1861. La plus récente date de 1914, appartenant au Lieutenant de Margerie.
Trop ou galop, plat ou obstacles, il faut croire que le nom de Mahéru portait plutôt bonheur. De fait, Mahéru est resté une terre d’élevages et nous en sommes fiers et heureux.
NB : Des demoiselles de Mahéru courent encore, à pied cette fois, mais c’est une autre belle histoire, celle du Trek en Rose, auquel nous souhaitons longue vie.
Nous remercions chaleureusement Pierre-Marie Desclos pour sa contribution
